Le gouvernement ne cesse de vanter son fameux « tax shift », qu’il présente comme une mesure historiquement ambitieuse.
La réalité est que les 7,2 milliards qui font l’objet du tax shift, sont entièrement compensés par d’autres taxes, et qu’il n’y a donc aucun avantage pour le contribuable moyen.
Bien plus, ce montant, qui comprend des mesures déjà prises en début de législature, est étalé sur ... 4 ans.
Ce qui reste, annuellement, représente environ ... 1 % du budget des pouvoirs publics, ou encore 0,5 % du PIB.
Décidément, en Belgique, non plus, on ne peut pas dire que « le changement, c’est maintenant ».